Qualité de vie au travail

« La performance d’une entreprise repose à la fois sur des relations collectives et sur une réelle attention portée aux salariés en tant que personnes » (extrait de l’ANI sur la QVT)

Dans leur rapport sur la détermination, la mesure et le suivi des RPS au travail,  le magistrat P. Nasse et le psychiatre P. Légeron recommandent la sophrologie entre autre méthode de relaxation,  pour aider les employés à  : « gérer plus efficacement les exigences et contraintes du travail en améliorant leurs stratégies d’adaptation aux sources de stress ou en renforçant leur résistance au stress en soulageant les symptômes associés au stress. »

Un outil de développement

Bien évidemment, les actions de préventions primaires sont à privilégier. Faut il pour autant dévaloriser voire éliminer les actions secondaires ou tertiaires sous prétexte qu’elles ne sont qu’un traitement symptomatique du problème ? Rappelons notamment que :

  • il existe des stress inhérents à la tâche et à certains métiersqvt
  • une bonne prévention primaire ne s’en verra qu’optimisée car l’outil aussi performant soit-il n’est rien sans la personne qui l’utilise
  • certains changements induits par le primaire, même s’ils sont  à priori bénéfiques peuvent révéler des difficultés d’adaptation (réorganisation, nouveau matériel…)
  • éducation et formation orientées sont plus responsabilisantes, productives et durables qu’un système unique imposé pour tous ou sanctions (comme par exemple dans le droit à la déconnexion)

En complément des outils et du développement relatifs au savoir-faire des collaborateurs,
la sophrologie ouvre le champ du savoir-être.